Carnets de voyages et nomadisme urbain
20 Octobre 2015
Il faut s’isoler de Venise, abandonner les touristes à leurs moissons de souvenirs et aux pigeons pour découvrir les ruelles désertes de la Giudecca avant le retour de ses habitants le soir et pour partir à la recherche de couleurs et d'images. Il faut oublier (un peu) les gondoles, se perdre dans les venelles de l’Arsenale, prendre le pouls de la ville. Il faut attendre le soir et la fermeture des boutiques et des kiosques pour prendre un verre en pensant à ceux qui ont tant aimé et décrit cette ville unique. (Octobre 2015)
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Guido Brunetti, spectateur de Venise - Polars urbains
Tout comme celles de son épouse Paola, les origines vénitiennes du commissaire Guido Brunetti remontent à plusieurs générations, en moins aristocratiques toutefois. Sa connaissance de la ville...
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